Cherbourg

La vue de rêve de la maison louée par Mamie Edith pour la première semaine de juillet...

 

Une très belle semaine...

Vacances

Nous prenons l'avion ce soir pour arriver demain matin à Paris, y emprunter une voiture et se lancer sur Cherbourg.

Puis nous passerons 4 jours à Blois, quatre jours près de Lorient, et Cyrille rentrera travailler en Martinique pendant que je rejoindrai les parents avec mes petits marcassins pour une quinzaine à Dax.

Ensuite, compter dix-douze jours de vadrouille entre Vannes, Pontivy et Paris avant le retour sur l'île...

Alors ne comptez pas trouver du neuf ici avant le 15 août... Bon été, bons baisers à tous et à bientôt en vrai pour la plupart d'entre vous !

Lézard à sonnette

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Quelques explications... Le cochon sanglier ci-contre, c'est un cadeau de Maman à son gendre. Cela servira à convier à table nos nombreux marcassins, quand ils seront nombreux et qu'on aura une grande maison. Pour le moment, c'est juste pour faire joli et rigolo.

 

Dans notre maison, de nombreux hôtes de petite taille s'invitent en permanence : ravets (gros cafards rouges), hannetons, rouges-gorges, fourmis, termites, souris, rats, et lézards... Une vraie arche de Noé, notre maison jaune - et il y a de quoi écrire une note pleine d'anecdotes par animal. Pour les curieux et les naturalistes, allez voir ici, 90 % des animaux présentés font partie de notre quotidien.

 

 Des lézards, nous en avons dans toute la maison, planqués ici et là ; chacun a sa cachette, qui son tableau, qui son armoire, qui son pan de mur ou de plafond. Ils font la chasse aux insectes, moustiques, moucherons et autres yenyens ; et ils défendent leur territoire, il faut les voir s'affronter, queue dressée et gorge gonflée, se tourner autour, se donner des coups de "bec", se poursuivre et crier (n'avez jamais entendu le cri du lézard ? Ca ressemble à un chuintement mécontent). De temps en temps, il y en a un qui y laisse sa queue !

 

Celui-là s'était installé sur la cordelette de la cloche, je l'ai pris en photo le soir avant de me coucher (après un petit hoquet de surprise car je l'ai vu au dernier moment en accrochant mes clés). Le lendemain matin, quand Benoît m'a demandé s'il pouvait "sonner le lézard",  j'ai donc tout de suite compris ce qu'il voulait dire, et j'ai vu que le lézard avait passé la nuit sur sa cordelette, il avait juste migré un peu plus vers le battant.

 

Autant vous dire que quand Benoît a sonné, le dormeur a fait un bond ; et que quand il a re-sonné, il a même sauté sur Benoît qui lui-même a sauté du coffre où il s'était perché pour sonner. Je regrette tellement de n'avoir pas filmé la scène... J'ai ri comme une petite folle, d'autant que j'avais anticipé le sketch. Il fallait voir la tête du Marcassin entre hilarité et frayeur !!!